Pascal DION
Coach et Praticien en thérapies brèves
30 rue des Arbustes 31500 TOULOUSE
06 35 13 18 93
http://coach-toulouse.wifeo.com/
Bonjour ,vous trouverez ci dessous un exemple type d’une séance avec ce praticien , sous la forme d’un article .
« Je vais avoir dans trois semaines un entretien d’évaluation avec ma direction, c’est la panique à bord » Le décors était posé, l’objectif était clairement établi, mon client avait besoin de se rassurer et souhaitait absolument acquérir des « trucs », il était venu avec un bloc de papier. Après avoir dans un premier temps expliqué le déroulement des séances, je lui parle alors de mon métier qui consiste à guider et opérer un changement de comportement s’il est nécessaire pour atteindre cet objectif. Un peu déçu d’avoir à faire à la patience plutôt qu’à la pêche aux solutions type « jeux vidéos », je lui confiai que le plus important n’était pas de prendre du poisson mais plutôt d’apprendre à pêcher. Je lui explique que l »exercice de l’entretien d’évaluation est difficile aussi bien pour le subordonné que pour le manager. Mais comme dans les animaux de la ferme, le roman de George Orwell certains animaux, en entreprise, sont plus égaux que d’autre. C’est le cas du manager. Le subordonné est donc en position de faiblesse. Il doit œuvrer pour que la rencontre se passe le mieux possible pour ses intérêts. Cette rencontre se déroule en face à face. Il peut y avoir des tensions. Pour les désamorcer, le premier conseil, est d’appuyer son argumentation sur des faits . Mon client découvre alors qu’un entretien est un espace de dialogue et d’échange. Il faut donc y aller en étant ouvert Je lui proposai de faire un pont vers le futur et voici ce qu’il vit au bout de deux séances : il se présentait devant son patron en pleine confiance. Il l’était d’autant plus que la rencontre a été bien préparée, Il envisagea la différence de perception, ce qui impliquait qu’il comprenait la vision de son manager. Cela lui permit d’expliquer, toujours très calmement, pourquoi les avis divergent sur un point de compétence, sur un échec ou une réussite. Il faut expliquer ses réussites et ses échecs et se montrer coopérant avec son patron. En étant apaisé avec lui-même, il apaisait sa relation avec le dirigeant. La panique avait disparu, simplement parce que l’honnêteté de la relation avec le pris le pas sur la spéculation. Mon client ne voyait plus cet entretien comme une condamnation préalable, mais d’avantage comme une condition de pouvoir affirmer sa position et afficher sa compréhension du rôle chacun
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