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QUEL EST TON GENRE ? Ou pourquoi est-ce si difficile aujourd’hui de « choisir » son (non) sexe ?

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Il y a encore peu de temps (nous sommes en février 2023 au moment où j’écris cette chronique), quand vous demandiez à un(e) célibataire « quel est ton genre ? », il/elle décrivait le physique de la personne qu’il/elle souhaitait rencontrer. Hétérosexuel, homosexuel, bisexuel ou transgenre, chacun savait à quel genre (masculin ou féminin) il appartenait ou voulait appartenir et à quel(s) sexe(s) se vouer, assumant son orientation et ses préférences au niveau des partenaires. Bien sûr, certaines personnes ont mis du temps à admettre et à imposer qu’elles étaient attirées par le même sexe et ça leur a demandé énormément de courage pour s’affirmer. Puis, il y avait également la catégorie des êtres humains nés dans le mauvais corps, ayant un mental de femme dans un corps d’homme et vice versa. Une partie d’entre eux en est restée à modifier les tenues vestimentaires, quand d’autres subissent des opérations chirurgicales très lourdes pour rectifier l’erreur de la nature. Très courageux également. Dans ce panel de possibilités, vous vous êtes peut-être cherché ou pas, avant de comprendre dans quel votre camp vous étiez : hétéro ou homo ou bi ou décidé à prendre l’apparence du sexe dans lequel vous vous reconnaissez. Aujourd’hui, ça semble être la mêlée… Peut-être, comme moi, vous posez-vous la question : qu’est-ce qui a bien pu se passer pour qu’une partie grandissante de la population mondiale ne s’identifie à aucun sexe ? Je ne nommerai pas les différentes « options », il y en a trop et pas envie de me faire taper sur les doigts parce que j’en aurais oubliées et je ne parle pas des L., ni des G., ni des B., ni des T. (Lesbiennes/Gays/Bisexuels/Transgenres) qui savent ce qu’ils sont et ce qu’ils veulent : je parle du « + » : LGBT +

Pourquoi certains êtres humains semblent de plus en plus perdus ?

Revenons à la base pour comprendre ce qu’il se passe en partant de l’étude des comportements humains. Dans une famille idéale, nos parents sont sensés développer notre confiance et notre estime en nous donnant reconnaissance, affection et protection. Ils ont également pour mission de nous former à être un homme responsable ou une femme responsable, une fois adulte. L’homme est un protecteur et la femme est le « repos du guerrier » pour simplifier les choses avec humour. Bien sûr, nous sommes interchangeables dans nos tâches (lui cuisine et elle repeint les volets), cependant je n’ai encore jamais rencontré une femme réclamant de protéger son conjoint et s’évertuant à soulever de plus gros poids que lui. Et même si vos parents vous ont enseigné le rôle relevant de votre sexe et que vous préférez, en tant que fils, ressembler à maman ou en tant que fille ressembler à papa, il sera toujours temps de vous affirmer dans votre orientation à travers les comportements que vous adopterez librement. Certains parents ont accepté avec le sourire, se fondant uniquement sur le bonheur de leur enfant, quand d’autres l’ont rejeté violemment. Cependant, déterminé à vous affirmer, rejeté ou accepté, vous savez définitivement ce que vous voulez. Idem pour ceux qui souhaitent changer de sexe, une fois adultes et convaincus, accompagnés ou pas par leurs parents. Dans tous les cas de figures évoqués, confiant et déterminé, chacun(e) choisira librement et délibérément ce qui le/la rendra heureux/heureuse.

Pour s’aimer, il faut de connaître (savoir qui on est) et pour se connaître, il faut s’écouter

Mais que se passe-t-il quand les parents ont été totalement défaillants, absents, ou encore violents verbalement, physiquement et/ou psychologiquement ? Pire, quand ils ont traité leur enfant comme un chien… Non seulement la confiance et l’estime n’ont pas été développées pendant l’enfance, mais le rôle de l’homme ou de la femme n’a pas non plus été enseigné. Résultat : une grande majorité de l’humanité ne s’aime pas. Pourquoi ? Parce que pour s’aimer, il faut avoir été aimé dans l’enfance, puis, si ça n’a pas été le cas, il faut apprendre à se connaître et pour se connaître, il faut s’écouter et une fois que vous avez découvert qui vous êtes, vous vous aimez et vous comprenez que quelqu’un d’autre vous aime aussi. Mais si vous ne vous aimez pas parce qu’on ne vous l’a pas enseigné enfant, vous ne savez donc ni qui vous êtes, ni ce que vous aimez et vous voilà dans le néant tombant dans le vide que vous ressentez à l’intérieur : vous êtes perdu. Quand vous allez dans un restaurant exotique et que vous ne comprenez rien au menu, que faites-vous ? Vous demandez conseil au serveur qui va orienter votre choix. De plus, le message qu’on envoie aux jeunes aujourd’hui, c’est (attention, concentrez-vous !): comme tu ne sais pas qui tu es et que tu peux être non pas « ce que tu es », mais plutôt « ce que tu veux » et comme tu ne sais pas ce que tu veux, ni ce que tu es, tu fais le tour du marché pour voir ce qui est proposé et tu ne sais plus que choisir, alors, tu choisis « rien ». Vous me suivez ? Et plus vous cherchez, moins vous trouvez et plus on vous propose « d’options », plus vous êtes « paumé ». Proposer aux enfants, dès la petite école, de choisir autre chose que ce qu’ils sont, alors qu’ils ne se posent aucune question s’apparente à la perversion. Ceux qui ont choisi le même sexe ou de changer de sexe le savaient souvent déjà petits : personne n’a eu besoin de les guider dans leur orientation. Pourquoi créer un problème dans la tête d’enfants qui n’en ont pas ? Depuis la nuit des temps, les choses se sont toujours faites naturellement et les esprits se sont ouverts un peu plus en même temps que les homosexuels, bisexuels et transgenres ont su imposer leur choix.

Quel que soit votre choix ou ce vers quoi on vous aura poussé : êtes-vous heureux ?

Et voilà que nous vivons une ère où certains humains ne se reconnaissent plus dans rien, prétendant parfois, pour une catégorie extrême d’entre eux, être un animal. Et bientôt un légume ? Alors, quand vous ne savez plus si vous êtes né dans une rose ou un chou ou une niche ou un potager, votre confiance est aux « abonnés absents » :  on vous offre toute une liste de possibilités et plus vous avez le choix, moins vous vous y retrouvez. D’autant que, maintenant, il est question de proposer aux enfants de n’être (naître) ni fille ni garçon et tu peux changer aussi ton zizi, si tu veux, et sans l’accord de tes parents. La décision n’est déjà pas simple à prendre quand on est adulte, alors, à l’école maternelle… Il faut savoir que votre cerveau, de zéro à 15 ans, est malléable et s’imprègne de toutes les informations qu’il capte et qui construiront principalement votre vie d’adulte : ce sont vos programmations. Fille ou garçon, si vous avez été traité comme tel depuis votre naissance, vous saurez qui vous êtes, même si vous changez de camp. Mais si vous êtes livré à vous-même, sans aucune confiance ni estime, si vous vous cherchez sans personne pour vous guider adéquatement, vous risquez de suivre aveuglément la première suggestion que vous croiserez. Alors, vous n’êtes plus ni « elle », ni « lui » et comme c’est à la mode, vous avez l’impression, faisant partie d’un groupe, d’avoir une famille (la vôtre étant défaillante) et d’être original : vous n’avez jamais brillé autrement qu’en vous différenciant des autres. Mais la véritable question, dans le fond, que vous soyez « il » ou « elle » ou ni l’un ni l’autre, c’est : êtes-vous heureux et bien dans votre peau ?

Et voilà comment les gouvernements veulent entraîner nos enfants et petits-enfants dans la déchéance puisqu’ils sont eux-mêmes dépravés. Et j’ai confiance en vous qui saurez élever votre descendance dans le respect de l’humain et de son sexe, même s’ils sont attirés par le même sexe ou veulent en changer, mais ce sera un choix délibéré et pas une perversité qu’on aura implantée dans leur cerveau, à l’école, dès leur plus tendre enfance. Il fut un temps où il fallait se battre pour faire accepter l’homosexualité, la bisexualité et le changement de sexe et voilà que nous devons nous battre, aujourd’hui, pour défendre notre hétérosexualité et aussi l’acceptation de notre sexe. Personnellement, je suis une FEMME, HÉTÉROSEXUELLE, ACCEPTANT LE SEXE QUE J’AI DEPUIS MA NAISSANCE et j’en suis fière. Cette situation me pousse à faire ce constat : La liberté, c’est comme le sexe auquel vous appartenez : plus on veut vous l’enlever, plus vous devez l’affirmer !

Comprenez bien que je suis pour la liberté et chacun choisira ou ne choisira pas ce qu’il est ou n’est pas, du moment que chacun(e) y trouve son bonheur. Mais mon questionnement se situe au niveau de la perversion qui brouille les cartes volontairement pour envoyer nos enfants et petits-enfants dans la mauvaise direction…

www.pascalepiquet.com   La spécialiste de la dépendance affective & du bonheur

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